A la base, cette chanson sortie en 1997 est une chanson en anglais du groupe punk "The Prodigy".
L'écriture de «Firestarter» est principalement attribuée au célèbre chanteur Keith Flint (1969-2019).
Elle parle d'un détonateur, le silex, et comme certains d'entre vous le savent sûrement, c'est une pierre qui était autrefois utilisée pour allumer des feux. Et dans cette chanson, Keith s'attribue des attributs similaires.
Cependant, cela n'est pas censé être pris à la lettre, comme étant un pyromane, la chanson est allusion est celle de Keith Flint personnalité ardente , en particulier en tant qu'artiste lorsqu'il est sur scène.
I'm the trouble starter, punkin' instigator
I'm the fear addicted, a danger illustrated
I'm a firestarter, twisted firestarter
You're a firestarter, twisted firestarter
I'm a firestarter, twisted firestarter
I'm the bitch you hated, filth infatuated, yeah
I'm the pain you tasted, fell intoxicated
I'm a firestarter, twisted firestarter
You're the firestarter, twisted firestarter
I'm the self inflicted, mind detonator, yeah
I'm the one infected, twisted animator
I'm a firestarter, twisted firestarter
You're the firestarter, twisted firestarter
I'm a firestarter, twisted firestarter starter
En français, cela donne quelquechose du genre :
Je suis le le gars qui commence les problèmes
Un putain d'instigateur
Je suis addict à la peur
Danger incarné
Je suis un pompier
Allume-feu tordu
T'es un pompier
Allume-feu tordu
Je suis la pu*e que tu detestes
Je suis la douleur que tu as gouté
Je suis intoxiqué.
Je suis auto-infligé
Detonateur de mines
Je suis l'infecté
Animateur tordu
Le détonateur
Les paroles de la chanson sont en fait signées par tout le groupe :
Anne Jennifer Dudley / Gary Michael Langan / Jonathan Edward Stephen Jeczalik / Keith Charles Flint / Kim Deal / Liam Howlett / Paul Robert Morley / Trevor Charles Horn
Zine dans la parodie niçoise se compare non pas à une silex, mais à une allumette.
Pour la petite histoire, dans le passé Zine a été victime de harcèlement moral dans son métier de Professeur, pour une affaire de corruption financière où personne n'a été condamné et où elle a laissé 10 ans de sa vie dans ce combat pour s'en sortir.
Avec les excuses orale du Juge pénal de Nice puisque sa plainte a été classée sans suite. Elle-même a été innocentée et le #pasdevagues a finalement gagné, mais c'est dans ce contexte où elle était un peu le "bouc émissaire" d'un dysfonctionnement grave qui a été finalement tout de même reconnu "imputable au service" qu'elle a écrit cette chanson "Aluquètaé, pour se soulager de ce combat qu'elle devait mener seule contre tous.
"Trop bon trop con" pourrait-t'on dire, mais à un moment donné, il ne faut pas pousser les gentils dans les orties au risque de les voir sortir de leur habituelle réserve et devenir de féroces combattants pour rétablir la Justice."
Sachant que la colère réactionnelle aux abus, même si elle est saine car il s'agit d'un réflexe archaïque de survie, produit sur la durée de grave problèmes de santé.
La colère ne peut qu'être un moyen ponctuel de poser des limites saines face à des situations inacceptables, toutefois, l'artiste recommande dans la mesure du possible de rester dans la non-violence. Toute violence est dommageable.
C'est pour cela que la créativité est un bon exutoire.
Et on ne peut pas fort heureusement mettre quelqu'un en prision en France pour avoir osé écrire une chanson...
C'était la petite histoire de la chanson à textes "Aluquèta"...
Retrouvez les paroles et les liens pour écouter en cliquant sur l'image :
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